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Ø

2 juin 2015

Et voilà. Je suis rentrée... J'ai trois milliards

Et voilà. Je suis rentrée... 
J'ai trois milliards de choses à raconter et au moins autant de raisons d'être heureuse, 
alors pourquoi je n'y arrive pas? 
Et pourquoi je me sens si vide, loin, et seule?

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25 mai 2014

What if..

"I'm just jealous because the French have you."

Sourires. Rien de plus, chaque chose est à sa place. Tout est juste.

30 mars 2014

2undzwanzig. .

 

 

2undzwanzig.

 

 

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27 novembre 2013

Ma vie, du vent. La pluie à Orléans. La course

Ma vie, du vent. La pluie à Orléans. La course hystérique engagée, l'allure vacillante et si tendre. Ca avance. Contre l'inflexible rigueur, une désobéïsance ténue s'exerce. Peine perdue. Le rencontre est truquée avant que les paris ne soient lancés. Peine retrouvée. Mais ça avance, bien sûr ça avance. Impossible d'aller contre. Ni dessous, ni dedans. Ni après, ni avant. Mais on y va, bien sûr on y va. Avec ou sans.

19 juin 2013

Souvent il arrive qu'hier me manque. La fougue,

Souvent il arrive qu'hier me manque. La fougue, l'impatience et cette absence de demi-mesure. Cette impression de courir sans effleurer une fin jamais. Mais bien vite on s'essouffle puis vient l'oubli. La jeunesse file. On est seul avec nos pensées. Avec le blanc autour et on se perd. 

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20 janvier 2013

Je deteste les soirs où pour rentrer à Orléans,

Je deteste les soirs où pour rentrer à Orléans, je dois prendre un train à Paris. Ces soirs où quel que soit le temps, même lorsque la neige y est sale et grise, les lumières brillent et les gens se bousculent. Les soirs où je les regarde se hâter alors qu'eux ne me voient pas. Les soirs où je regarde Paris s'éloigner sans qu'elle ne pense à moi. Les soirs où j'imagine quelle vie j'aurais pu avoir ici. Et à quel point elle me manque.

18 janvier 2012

Ecorchés.

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Quand aurons nous le temps de vivre ? 
Et la jeunesse file.. 

25 février 2011

Agitée plus qu'aucune mer..

Écume. Sur le rivage acéré. D'avant en arrière. D'arrière en avant. Tic. Les dents serrées, le coeur cahote. J'ai le mal de mer. Remue-ménage monstre dans la cage. Tac. Mon estomac balance entre mes talons et ma glotte. J'ai l'océan sur le bout de la langue. Vague à l'âme. L'orage gronde, on dirait bien que la tempête approche. Encore. La force du ressac. Broyée sous des tonnes d'eau. Rouleaux compresseurs. Rien que ça. Des tonnes, des tonnes. Je tangue. Plus fort. La houle. Cette danse. J'ai le mal de mer et de l'écume sur les lèvres. De l'écume plein la bouche. Eau boueuse.

9 janvier 2011

Jambes croisées à même le sol. Et cet air

Jambes croisées à même le sol. Et cet air fatigué. Presque épuisé. Ces yeux sont vides et cernés d'un glacis pourpre. Lourd.  Pesant. Tout le poids de son corps sous ses yeux. Le poids de son crâne. De chacune de ses pensées. Il ne vacille cependant pas. Ne tremble pas. Immobile. Entêté et tenace. Fort. Et pourtant sous son masque... il ondule immuablement. La raideur de sa chair et la courbure de sa nuque. Il regarde dans la direction de la large baie vitrée. Dans la lumière noire du matin on n'aperçoit que le sommet que quelques arbres. Et plus rien. Silence. Mon corps étouffe sous les draps, je relève le buste. Son visage enveloppé dans un voile. Un sourire, un air tranquille. Rendors-toi. Le soleil n'est même pas encore levé.

18 décembre 2010

Post-it.

" L'existant, la trace de l'existant, l'idée de l'existant. La matérialité tirée du creux, de l'absence, du vide. Le plein que tu crées à partir du rien. Rechercher l'être par une fuite de l'évidence, en parlant d'une énigme. Elle ne cherche pas à être résolue. C'est l'énigme qui est au cœur de tout, c'est parce qu'il y a du mystère qu'il y a de l'intérêt. Les questions ne cherchent pas à être résolues, tu les fais exister. Tu les crées alors qu'on pourrait ne pas se les poser. "

Dernier entretien.
Après le premier, je m'étais retrouvée au bord des larmes. Les yeux embués, dans le genre désarmée. Définie de a à z en cinq minutes montre en main. C'était dingue. Dingue ! Vide, c'est ce qu'il avait compris.

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